RAPPORT DES OBSERVATOIRES DES VIOLS CONTRE LES FEMMES EN AFRIQUE FRANCOPHONE

Tableau des activités

Pays concernesActivités réaliséesDémarche poursuivie Résultats
Benin   
Tchad   
Togo   
DRCongo-Répertorier les dossiers de viol contre les femmes auprès des instances judiciaires-Sensibilisation et vulgarisation des lois sur la protection de la femme. -47dossiers auprès du tribunal de grande instance de Bukavu :-22 dossiers dont les victimes n’ont pas eu de réparation civile, mais les auteurs ont subi la peine de la prison-25  dossiers abandonnés par les victimes faute de moyens

-Recherche des victimes dans les dossiers répertoriés

-Réception des victimes au cabinet,  leur fournir des conseils sur  la procédure en exécution de réparation civile

-Accompagnement des victimes  devant les instances judiciaires

-22 victimes ont eu leurs réparations civiles-11 victimes se sont procuré des champs à cultiver grâce aux sommes qui leur ont été données comme réparation civile-5 victimes indemnisées ont été réinsérées dans leurs couples après avoir été rejetées par leurs maris

-25 dossiers en cours jusqu’à maintenant

 

Au cours de nos activités en 2017, le plan d’activités étant partagé entre nous,  membres de l’Afrique francophone de l’AIF, (Togo,Tchad,Benin) les activités n’ont pas pu étre réalisées dans les autres pays sauf en Rdc, faute de moyens.

Ces activités ont été réalisées sur base des cotisations ainsi que par le renforcement d’une partie de la somme à nous accordée par les femmes de l’AIF/Angleterre.

Les difficultés que nous approuvons toutes, face à ces activités, c’est le manque de fonds. Il nous a été promis par les amies du Bénin qu’elles s’occuperont de la collecte de fonds, cela n’a pas été fait et nous n’en avons eu aucun rapport. Que pouvons-nous prétendre faire encore pour les femmes de l’Afrique francophone, si un plan pareil des activités touchant directement et favorablement les droits des femmes n’a pas pu été réalisé faute des moyens ? Un plan susceptible  d’enrichir la femme violée au détriment et à l’appauvrissement de l’auteur ? Ne serait-ce pas un moyen facile pour mettre fin à ce fléau ? NOUS DEMANDONS UN SOUTIEN FINANCIER A TOUTE PERSONNE QUI VOUDRA VOIR TERMINER LE VIOL EN AFRIQUE FRANCOPHONE. CE PLAN EST L’UN DES MOYENS.

 

                                     Madame SIIREWABO MUYUWA Anuarite

Présidente L’AIF Afrique Francophone,

Vice-présidente de la Région d’Afrique

 

 

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